Sagesse Spinning

»À propos de Round, autour,
            Et voilà!
Reel loin, bobine loin,
            Paille en or! *

Toute ma vie, je l'ai été attirée sur les femmes plus âgées et plus sages. Je me plais à imaginer mes grands-mères, bien que disparu depuis longtemps, que les jeunes filles, et je regarde dur dans les visages des amis, certains maintenant dans leurs années 80, bien sûr que je vois la jeunesse, l'innocence même enfantine, à leurs yeux, comme je valoriser leurs conseils et de l'expérience.

(Photo, Coton Spinning en Erath, 1977 par George Rodrigue, huile sur toile, 30x40 pouces, cliquez sur la photo pour agrandir-)

Je l'ai écrit dans l'autre côté de la peinture à propos de Gladys, une femme âgée, je lie d'amitié avec par hasard à l'épicerie alors qu'il était étudiant à San Antonio, au milieu des années 1980. Je lis attentivement il y a plusieurs années de jour en jour le compte de la cour de ses parents, enregistrée au sein de son journal intime de la mère de George au milieu des années 1920. Et je me rappelle souvent aux jeunes femmes une histoire de ma propre stock de sagesse, racontant la réaction de ma grand-mère Wolfe à une rupture romantique pas longtemps avant que George et moi commencé à sortir:

    "Mais vous êtes vingt-cinq ans! Qui va vous voulez maintenant? "


Bien que je ris aujourd'hui sur la scène et sa signification, à l'époque, je fis ma grand-mère une grande détresse, comme je l'ai refusé de le faire comme elle et demandé,

    "Appelle le! Beg lui! Faites-le vous ramener! "


Néanmoins, je pesais ses conseils attentivement, en respectant l'opinion qui venait de ses 101 ans.

George Rodrigue embrasse aussi cette sagesse. Il conserve ces scènes dans les peintures, illustrant 1924 classe d'école de sa mère et d'autres clichés précoces, tels que Boudreaux dans un baril, élucidé à sa manière des petites photographies en noir et blanc dans l'album de Marie Courrege Rodrigue. Il apprécie également ces scènes d'autres familles Cajun, les recréer sur sa toile dans les portraits de la famille et des peintures de la vie du XIXe siècle et au début du XXe siècle acadienne.

(Photo, Theresa Meyers Dronet et sa mère, Anaise Landry Meyers, 512 East Edwards Street, Erath, Louisiana, photographie vers 1939, collection The Acadian Museum-)

    "Dronet général de Erath m'a apporté une photo il y a quelques trente-cinq ans de sa grand-mère et grand-mère», se souvient Rodrigue. «Il m'a demandé d'envisager une peinture de cette importante tranche de l'histoire acadienne. Je l'ai vu tout de suite que ce fut une image iconique, et je réinterprété dans mon style Cajun. "


Warren Perrin, co-fondateur du Musée acadien et président sortant du CODOFIL (Conseil pour le développement du français en Louisiane) rappelle Mme Dronet, qui ...

    "... Vendu ses textiles uniques de sa maison pour aider sa famille. De son dévouement à l'artisanat culturel précieux, le colonel Dronet a acquis une reconnaissance précoce de ses racines ancestrales."


George Rodrigue a grandi un seul enfant; cependant, il faisait partie d'une famille élargie personnes âgées et grande, avec les parents plus âgés qui étaient chacun le plus jeune de leurs combinés vingt-six frères et sœurs.

(Photo, les frères et sœurs COURREGE sur la pelouse de la maison construite par George Rodrigue, Sr .; la mère de George, Marie Courrege Rodrigue, qui a vécu jusqu'à 103, est assis à l'extrême gauche, New Iberia, Louisiane, 1955 cliquez sur la photo pour l'agrandir -)

Ce fut l'Acadiana la décoloration, comme rappelé par ses parents, oncles et tantes, que Rodrigue conservé, en commençant à la fin des années 1960, sur sa toile. Cela comprend non seulement des scènes de genre à partir de photographies, mais aussi des scènes imaginaires, en particulier des paysages de la Louisiane, comme idéalisé par l'oeil d'un artiste Cajun.

(Photo, Paysage avec la cabine et le chêne, 1970 par George Rodrigue, huile sur toile, 30x36 pouces, cliquez sur la photo pour agrandir-)

Dans un sens, Rodrigue insère sa propre sagesse ancestrale et vision unique sur sa toile comme un spinner pourrait dans une courtepointe.

Dronet décrit sa grand-mère Thérèse Meyers Dronet (b. 1871) comme «le plus connu artisan textile acadienne» qui «a appris à filer et à tisser à la chandelle de sa grand-mère à l'âge de huit ans."

    "Alors que sa mère, Anaise, serait« carte »du coton, Thérèse tourner le fil sur la roue de filage, comme cela avait été fait par les Acadiens pendant deux siècles art for sale.

    "Elle a produit une vaste collection et beau, y compris de la courte pointe,« tapis, couvertures, couettes et sacs à main couvre-lits. Sa fierté personnelle et de préférence, cependant, était la «courte pointe» (couvre-lit) expemplified par la «croix et diamant» dans un cordonne, boutonne travail syle.

    "En 1929, une« courte pointe »tissée par Mme J.B. Dronet a été inclus dans un don de textiles acadiennes présentées à la Première Dame de la nation, Mme Herbert Hoover."


-du Un siècle de la culture acadienne, le développement d'une communauté Cajun: Erath (1899-1999) par le général Curney J. Dronet, Le patrimoine acadien et Culture Foundation, Inc., 2000

(Photo, The Gift Patchwork, 1978 par George Rodrigue, huile sur toile, 5x7 pieds, cliquez ici pour plus d'info-)

    "cure-dents Goose d'oie, Wendy, qui est ce que je dois!" a déclaré un ami sage récemment, ses yeux brillants comme une jeune fille de.

Où puis-je les trouver?

    "Look up 'apothicaire' sur votre iPhone."

    "Et pendant que vous y êtes," elle a continué, "me trouver un vieux médecin .... une avec l'expérience réelle!"
George Rodrigue art

Je ferai de mon mieux, je l'ai promis, alors même que je savais que, comme les premiers filateurs, nous aurions plus de chance de trouver un tel médecin sur la toile de George que nous le ferions sur google.